HA LES BONNES FEMMES!

Du moment qu'on dit le mot ¨mémères¨on imagine tout de suite une bande de bonnefemmes se vautrant dans la médisance. Comme on voudrait scinder le monde en deux, les malveillantes d'un côté- les sages de l'autre,
les superficielles d'un côté- les créatifs de l'autre; les contemplatives d'un côté- les actifs de l'autre. Et disons le pendant que nous y sommes; les intelligentes d'un côté- les idiots de l'autre.  Hélas! il n'est pas si simple de départager le monde.  J'avoue, j'ai rencontré des hommes brillants.  Les mémères furent dans ma vie autant de sexe masculin que féminin.  La mesquinerie non plus n'a pas de genre.  La jolie coalition c.a. de coop. représentant de la FECHIMM est composée des deux.  Sexiste que je suis, j'ai toujours considéré que la pleutrerie était l'affaire des hommes.  Pourtant, force m'est d'admettre que certaines femmes présentent ces mêmes faiblesses congénitales. 

Au secondaire, il y avait un petit couillon qui m'emmerdait.  Ma patience ayant des limites, malgré que large, un jour je l'ai attrapé par le fond de culotte et l'ai envoyé s'écraser contre le mur du corridor.  J'aime raconter cette histoire; ça me réconforte.  Si on pouvait en faire autant devenus adultes.  Ben non voyons, ç'est pas joli la violence.  Comploter pour pourrir la vie des gens, o.k. mais oser ne serait-ce que répliquer verbalement aux importuns, leur dire leur quatre vérités et hop!  une petite action avec ça?